Avec Cécile Albert, chargée de recherches CNRS à l’IMBE. La perte et la fragmentation des habitats naturels est aujourd’hui reconnue comme l’une des principales causes du déclin de la biodiversité. Moins connue que les changements climatiques, cette cause n’en est pourtant pas indépendante. D’une part la perte et la fragmentation des habitats naturels amplifie les changements climatiques. D’autre part, la faune et la flore peut moins facilement répondre aux changements climatiques (adaptation ou migration) dans les paysages plus fragmentés. Penser l’aménagement du territoire en intégrant ces interactions pourrait permettre de mieux conserver la biodiversité dans un contexte climatique changeant.
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